À propos de cette revue
Lex Dogana est une revue scientifique à comité de lecture et en libre accès, consacrée au développement de la recherche en droit douanier, en réglementation de la fonction publique et dans les dimensions juridiques du commerce international. Elle offre une plateforme permettant aux chercheurs, praticiens et décideurs d’explorer les défis contemporains et les innovations dans l’administration douanière, la gestion des frontières et la gouvernance publique.
La mission de la revue est de favoriser le dialogue académique mondial en publiant des articles de recherche originaux, des études analytiques et des revues mettant en lumière des solutions juridiques nationales, régionales et internationales. Lex Dogana vise à promouvoir des systèmes douaniers efficaces, transparents et résilients dans le monde entier et accueille des études comparatives et interdisciplinaires intégrant des perspectives juridiques, économiques et de gouvernance.
L’histoire de la naissance de Lex Dogana
Dans un monde où des millions de marchandises, d’idées et de personnes franchissent les frontières chaque jour, il est apparu le besoin d’une voix commune — un espace où le droit, l’économie et la gouvernance pourraient se rencontrer. Lex Dogana est née non pas dans le calme des amphithéâtres universitaires, ni dans la poussière des archives, mais à la croisée des postes de douane, des négociations diplomatiques et des tribunaux.
L’idée a germé au sein d’un groupe de chercheurs et de réformateurs qui ont perçu un paradoxe : le droit douanier n’est pas seulement une question de tarifs et de procédures — il concerne aussi les droits de l’homme, la confiance publique et l’équité mondiale. Leur ambition était de créer non pas simplement une revue, mais une véritable arène de diplomatie intellectuelle, où l’expérience des douaniers aux frontières de l’Europe rencontrerait la réflexion des législateurs, des juges et des experts internationaux.
Les premiers articles furent réunis presque comme de la contrebande — dans les couloirs des universités, autour d’un café nocturne dans les cafés littéraires, et même sur les postes-frontières, où les chercheurs observaient le droit en action, en temps réel. C’est ainsi qu’est née la philosophie fondatrice de la revue : aller au-delà de la doctrine pour capter le pouls vivant du droit, là où circulent les biens et les personnes.
Dès le départ, chaque numéro fut imaginé comme un véritable « portail » vers l’avenir de la gouvernance douanière — où les articles ne sont pas seulement des analyses, mais des invitations au dialogue. Son modèle en libre accès n’est pas une simple formalité, mais une déclaration : les défis mondiaux ne connaissent pas de frontières, le savoir ne devrait pas en avoir non plus.
Aujourd’hui, Lex Dogana est bien plus qu’une revue. C’est un espace intellectuel où les idées s’échangent, où les réformes prennent forme et où se forge une vision d’un service douanier transparent, résilient et centré sur l’humain — article après article.
